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Free as a bird....

Ma pratique du barefoot, mes sorties et courses, mes réflexions (et aussi un peu de déconne quand même !) .......

Avant, pendant.....mais après ?

Publié le 25 Avril 2015 par JayJay in divers

Avant, pendant.....mais après ?
Après bientôt 6 mois de pratique (j'ai entamé ma mutation barefootienne le 12 novembre), j'en suis où ?
 

A la base, j'étais parti pour me donner une année complète pour effectuer cette transition, en envisageant deux scénarios :

  1. "Donne-toi du temps, essaie d'être patient une fois dans ta vie, si ça foire au moins tu n'auras pas de regrets à ne pas avoir tenté l'expérience...."
  2. "Si tu pousses au contraire l'expérience jusqu'au bout et que ça donne parfois l'impression de trainer en longueur, dis-toi que ça vaudra probablement le coup de savoir ce que ça peut t'apporter au final."

Et puis après tout on n'a qu'une vie, et un an dans une vie, qu'est-ce-que c'est ? Peanuts.....

 

Franchement, à mi-parcours, j'ai l'impression d'avoir commencé avant-hier. Cette impression déjà vécue dans pleins d'autres domaines qui vous fait dire que plus l'âge passe, plus vite les années filent. Mais là, on est dans le "plus Vite" avec une majuscule à "Vite", genre tu donnais le biberon à ton gamin hier et aujourd'hui il a grandi, devient ado et prend deux jours et demi pour se rendre du salon à la cuisine en trainant les pieds (et pourtant je vous promets qu'on est trèèèèèès loin d'habiter un château), dans ce style si particulier qu'ont les 13-16 ans de porter toute la misère du monde sur leurs frêles épaules à chaque seconde que le seigneur leur impose.

 

Impression déjà vécue également au boulot : arrivé janvier, j'ai toujours coutume de dire "Ca y est, l'année est pratiquement finie...." (l'année scolaire j'entends, faut pas tomber dans l'exagération non plus). Je ne dis pas que des conneries (pour une fois), la preuve c'est que d'autres collègues le disent aussi, c'est que ça doit donc être vrai (ne JAMAIS contredire un prof. On a choisi ce métier uniquement pour avoir raison tout le temps. On sait pertinemment que c'est faux, mais c'est notre kif à nous. Ce qu'on n'avait pas prévu, c'est que les ados d'aujourd'hui ne l'entendent pas de cette oreille....). A peine un mois après la reprise post-gavage-du-31-décembre donc, les notes du 2ème trimestre sont cloturées, conseils de classe, réunions parents-profs, vacances, et on se retrouve avec le printemps, le beau temps, re-vacances, on fait une petite sieste entre deux corrections de copies et on se retrouve fin juin. Et allez, une de faite, l'addition s'il-vous-plait !

Avant, pendant.....mais après ?
Et bien pour le barefoot, c'est pareil. Mais par contre, là, plusieurs paramètres peuvent expliquer pourquoi ces 6 mois sont passés super vite :
 
  • le fait de repartir à zéro a imposé d'emblée une progression "naturelle" : si j'avais continué chaussé, mon kilométrage hebdomadaire serait resté sensiblement identique, j'aurais poursuivi mes 4 sorties semaines avec footing cool-récup' de la sortie longue du weekend en un, séance de fractionné en deux, footing j'en-garde-sous-le-pied-pour-le-weekend en trois, et 3 heures le dimanche matin pour clôturer la semaine. La routine quoi, 4 sorties/semaine de janvier à décembre (avec l'option arrêts-ostéo en plus pour pimenter un peu mon quotidien), en gros ce que je fais depuis 5-6 ans (baillements........). Là, j'ai commencé doucement par 1/2/3/..... kilomètres par sortie pour finir le reste chaussé, puis est venue la période "je peux tout faire pieds nus, cool !", puis le palier "je suis à l'aise pour faire 10 kils, je peux augmenter un peu la distance...." ; ensuite est venue la première course officielle, on se remet doucement au fractionné, suivi de la période "je me testerais bien sur semi en juin, on va se préparer et rallonger la sortie du weekend", puis le premier petit trail, etc, etc..... Aucune routine là-dedans, que du nouveau chaque semaine (ou presque), ca a été super rafraichissant dans l'esprit jusqu'à présent, et je croise les doigts pour qu'il en soit ainsi encore un bon moment.

 

  • fin novembre, j'ai commencé direct dans la période froide de l'année, voire très froide quand il avait gelé ou neigé. Par contre, depuis un bon mois, il faut super-bon, et là, les sensations pieds-nus sont décuplées : à chaque sortie, je nage en plein bonheur dès les premières foulées, et ça ne s'arrête qu'une fois passé le seuil de la maison, c'est du kif non-stop, une impression de légèreté et de bien-être en intra-veineuse, un peu comme un deuxième départ (encore, oui, je sais..... Z'êtes jaloux hein ?). Chaussé, la seule différence entre les saisons se fait au niveau des vètements portés (même si je ne nie pas le plaisir que l'on ressent à laisser le haut en pilou-pilou et le fuseau en poils de Yack au placard pour pouvoir sortir en T-shirt, qu'on soit chaussé ou pas) : mais ça, on le vit aussi dans la vie de tous les jours, on met le gros blouson en hiver, on commence à sortir en pull au printemps, rien de révolutionnaire de ce côté-là non plus.

 

  • la progression ne va pas s'arréter là : objectif semi en juin, et probablement l'envie d'augmenter la distance et/ou le format par la suite. Et là, je vais à nouveau avoir le choix : marathon ? trails courts ou longs ? petit ultra ? Les possibilités vont être nombreuses......... En version chaussée, une fois qu'on a basculé dans l'ultra, le plafond est vite atteint. Attention, ce point de vue n'engage que moi, et je dis ça en toute humilité et surtout avec un énormissime respect pour tous les coureurs qui se lancent sur ce genre d'épreuve où on parle nuit(s) blanche(s) et hallucinations sous l'effet de la fatigue, parce que moi et mes petits 80 kilomètres maxi à ce jour, je suis loin d'être un caïd en la matière, et ledit plafond, et bien il se trouve que je ne l'ai pas encore atteint, même pas touché du doigt d'ailleurs..... Mais je sais que même si j'avais pu passer la barre des 100 kilomètres sur une course, ça ne serait resté dans mon esprit qu'un autre ultra (avec une saveur un peu particulière certes, mais un ultra quand même). Qu'est-ce-que j'aurais envisagé comme étape suivante : 120 bornes ? 130 ? Quelle différence ? L'ultra consiste pour la plupart des coureurs à se dépasser, à voir jusqu'où on peut aller, à aller à la rencontre d'un soi intérieur dont on ne soupçonnait même pas l'existence, mais une fois qu'on a fait le mythique UTMB et ses 180 bornes autour du Mont-Blanc, on peut toujours rajouter autant de bornes qu'on veut, on est vite confronté à deux choses : d'une, le corps humain a ses limites et au bout d'un moment, ça coince, et de deux, ça reste de l'ultra, le "Ultra XXL Maxi Best Of" n'existe pas encore (si dans un futur proche fleurissent des épreuves genre "150 kilomètres à cloche-pieds", ou "130 kilomètres avec une armoire Louis XV sur le dos", ou encore "160 kilomètres en Moonwalk avec chaussures de ski deux pointures trop petites ", je ressors cet article et demande des droits d'auteur).

 

  • au risque de me répéter, plus de blessures depuis le barefoot. Et je peux vous assurer que quand on a passé des années à se demander à quel moment de la prépa on allait devoir ressortir le vidal et aller commander une palette de Voltarène chez le pharmacien du coin, à quel moment on allait commencer un run en se disant avec un sourire optimiste "c'est un peu raide au niveau des ischios, pas graaaaave, une 100aine de mètres et je ne sentirai plus rien..." pour rentrer chez soi 2 minutes après en faisant la tronche avec les enfants qui te disent "Alors, bien couru ? Tiens, tu pues pas la transpiration pour une fois, tu t'améliores....", à quel moment on allait téléphoner à son ostéo sans avoir à se présenter parce qu'il reconnait notre voix direct ("Aaaah, mon patient préféré qui me paie mes vacances depuis 7 ans !!! Ca fait deux mois depuis la dernière fois, je croyais que vous étiez mort, je commençais à m'inquiéter..."), et bien courir sans devoir guetter la blessure imminente, c'est un luxe auquel on s'habitue très vite. Et du coup, on a l'impression d'enchainer les semaines tout en douceur, sans arrêt aux stands pour devoir mettre des pneux neufs.

 

Transition in progress....

Transition in progress....

 

Mais après, il y a quoi ? A vrai dire, je n'en sais rien.

J'envisageais le barefoot comme une façon de réapprendre à courir, ou pour être précis une occasion d'apprendre une bonne fois pour toute à BIEN courir, parce qu'avoir tant de pépins physiques, ça ne me paraissait pas normal. Le postulat initial était que si j'étais capable de courir barefoot, c'est que mon corps validait la pratique, et que par conséquent ce que je savais faire pieds nus serait alors du gateau avec des runnings aux pieds. Plutot logique, non ?

Mais comme le barefoot est à la base une pratique loin d'être répandue et pas franchement orthodoxe (ni très catholique d'ailleurs), je voyais tout de même ça (avant d'y avoir goûté) comme une sorte de parenthèse, une espèce de maîtresse honteuse que j'aurais vue en cachette dans un Formule 1 après le boulot (on a la classe ou on ne l'a pas), pour finalement lui dire au bout d'un an "On va s'arréter là tu sais. Toi et moi c'était uniquement pour l'hygiène, nous n'avons pas d'avenir à deux. Et ne tente même pas d'essayer de me contacter ou encore de tout raconter à mes runnings, j'ai des connaissances dans le milieu qui se feront un plaisir de t'envoyer au fond de la Deûle les deux pieds dans un bloc de béton." (Bouh ! Les pieds masculins sont vraiment tous des porcs ! Vous avez raison les filles.....)

 
 
Et pourtant, aujourd'hui, je vois les choses un peu différemment.
 

1. Courir pieds nus me plait beaucoup, énormément même. Pas envie d'arréter donc, autant aller chercher le plaisir là où on sait qu'il se trouve. Je l'aime bien ma maîtresse moi d'abord.....

 

2. Je pense avoir assimilé la technique de base, même si elle reste encore à perfectionner. Le pied sous le centre de gravité, la cadence élevée 190 pas/minutes, la pose médio-pied, le gros orteil bien à l'aise pour jouer le rôle de stabilisateur (et hop, plus besoin de semelles pour compenser !), le corps très légèrement incliné vers l'avant, et surtout cette impression d'avancer sans faire le moindre effort (ou presque) en me laissant tomber vers l'avant dans une espèce de chûte contrôlée, c'est franchement du bonheur. Et la question que je me pose depuis quelques temps est : avec des pompes aux pieds, est-ce-que tu y arriveras aussi bien ? Est-ce-que ces satanés pompes ne vont pas géner cette mécanique bien huilée (attention, mécanique d'une petite Clio sans options, j'ai assez de recul sur moi-même pour savoir qu'on est à des années-lumière d'une Formule 1...) ?

Franchement, je n'en ai aucune idée, et je n'ai même pas envie d'essayer pour le moment. Peut-être ai-je peur de désapprendre progressivement, ou de me rendre compte que je ne pourrai pas retrouver les mêmes sensations qu'en barefoot, je n'en sais rien.....

 

3. J'ai remarqué qu'au quotidien, j'ai de plus en plus de mal à être chaussé. Plutôt embétant dans la sociéte qui est la notre, vous en conviendrez..... Dès que je reviens à la maison, je déchausse. En salle des profs, quand je suis assis à une table pour corriger des copies, idem. Lors de sorties sur la journée ou je marche beaucoup, les chaussures que je qualifiais de "vrais chaussons" par le passé me gènent, j'ai l'impression d'avoir les pieds à l'étroit, je ne suis plus à l'aise dedans. Encore plus grave, le lendemain de certaines sorties, il m'arrive parfois d'avoir des petites gènes aux genoux ou à la hanche dans la journée, mais celles-ci disparaissent instantanément une fois que je me retrouve pieds nus. Serais-je devenu "Shoellergic" (Jean-Claude Vandamme, sors de ce corps immédiatement) ?

 

Houston, we got a problem.....

Gary Larson revisited........ (dédicace à Christine)

Gary Larson revisited........ (dédicace à Christine)

 
Du coup, en novembre prochain : chaussures or not chaussures (Shakespeare n'aurait peut-être pas eu la carrière qu'il a eu avec une citation pareille, mais au moins j'aurai préféré çà aux daubes que l'on nous a fait étudier à la fac : si on avait eu "Killian et Juliette font l'UTMB", "Le Marchand (de runnings) à Venise", "MacTrail", "Beaucoup d'entrainement pour rien", "La nuit (blanche) des rois", "Sortie longue d'une nuit d'été", je serais même allé jusqu'à tenter le doctorat tiens...) ?
 

Une chose est sûre à 110%, si je remets quelque chose aux pieds, ça sera du minimaliste de chez minimaliste en zéro-drop, très proche du sol. Certitude absolue de ce côté-là, j'ai même vendu mes X-Talon 212 de chez Inov-8 qui, même si elles m'avaient apporté entière satisfaction à l'époque (et accessoirement m'ont couté un bras pour n'en tirer que 200 kilomètres au compteur), me donneraient aujourd'hui l'impression de courir sur des talons hauts avec leur drop de 6mm et leurs maxi-crampons (j'ai cru courir en Hoka maximalistes la dernière fois que j'ai chaussé mes New Balance 3mm toutes plates, c'est pour vous dire.....) : excellentes pompes, mais inmettables pour moi à l'avenir. Certaines marques font des très bons modèles dans ce domaine, et ça me donnerait la possibilité de refaire à nouveau du trail-boueux-poilu-qui-pique-aux-cuissots. Altra , mais également Vivobarefoot (la bien nommée), Merrell ou encore Inov-8, (pour ne citer que celles-là), ont tout compris au running naturel. Une bonne image valant parfois mieux qu'un long discours, matez-moi ça :

(copyright Altra)

(copyright Altra)

Autre chose à rajouter ? Non ? Personne ? Vous commencez à piger l'importance d'une toebox large (et surtout pourquoi ça serait une torture de remettre des pompes traditionnelles) ? Bieeeeeeeen........
 
 
A mi-parcours, il semblerait donc que l'on se dirige vers une version mixte du plan initial : continuer mes petits runs barefoot là où je n'ai pas besoin de chaussures (sorties cool, fractionné, courses sur route), et mettre la main sur LA paire de pompes pour le weekend qui aura les qualités suivantes :

 

  1. être suffisamment discrète pour se faire oublier.
  2. apporter suffisamment de protection au niveau de la plante des pieds pour me permettre de retourner sur les terrains de jeu locaux (trails et sorties longues sur les terrils et dans les Flandres), parce que les terrils en barefoot, faut pas déconner non plus, j'ai déjà perdu ma fierté, elle est aux dernières nouvelles en train de moisir sous un océan de caillasses à Sec-Bois.
  3. être souple comme il faut pour laisser le pied dérouler à son aise.
  4. avoir une toe-box large de chez large pour que les orteils et le médio-pied puissent permettre au corps d'atterir correctement puis de jouer leur rôle propulseur pour repartir de l'avant. Pour info, le pied est la partie du pied possédant le plus d'os (26 os, soit le 1/4 du corps humain pour les deux pieds), et pour bien fonctionner, celui-ci doit avoir de la place, c'est aussi simple que ça....

 

Ca serait plutôt cool ça, ça me plait bien tiens.... Du coup, si certains d'entre vous ont le nom de cette pompe de rêve, n'hésitez pas à proposer et faire des suggestions, je suis trèèèès preneur.....

Cerise sur le gateau (qui ne tente rien n'a rien / l'avenir appartient à ceux qui osent tout) : si vous bossez pour LA marque qui produit LA pompe idéale, vous pouvez bien entendu me contacter et me la faire tester, je vous promets d'être un ambassadeur de rêve pour en vanter les mérites (j'ai déjà tout un tas de slogans accrocheurs en tête, comptez sur moi....) !

 

Réponse du casting début 2016 !

« Il n’y a pas de problème ; il n’y a que des solutions. L’esprit de l’homme invente ensuite le problème. Il voit des problèmes partout. C’est marrant. » (André Gide)

« Il n’y a pas de problème ; il n’y a que des solutions. L’esprit de l’homme invente ensuite le problème. Il voit des problèmes partout. C’est marrant. » (André Gide)

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L
Au bout de 6 mois de pieds nus tu penses à remettre des chaussures et tu appelles ça "après", mais en fait c'est parce que t'as pas encore fait totalement le deuil du "avant" :)<br /> Pour ma part plus j'avance, moins j'ai envie de faire marche arrière. Comme tu l'écris au début de l'article, après tout on n'a qu'une vie !<br /> Tip of the day : essaye la rando pieds nus si tu en as l'occasion. Tu verras que les terrils n'ont rien de terribles, et que la marche est une option tout à fait respectable quand la course est trop difficile. Après tout c'est comme ça que fonctionnent les traileurs (chaussés).
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J
J'avais déjà vu cette vidéo, mais elle reste toujours aussi impressionnante !!!!! Je ne sais pas comment fait le gars, il donne réellement l'impression de ne rien sentir tout en envoyant du lourd..... Y'a du boulot ! ;-)
L
Si tu cherches à être performant sur trail, effectivement il te faudra des semelles. Mais je suis convaincu qu'avec de l'entraînement tu peux largement diminuer la proportion de marche, vois ce que fait Patrick sur du gravier : http://vimeo.com/69174494
J
Tu as mal lu Lambda : je ne renonce pas du tout au pieds nus, je cherche juste la pompe qui me permettra de retourner sur les trails le weekend. Gros cailloux, ronces, terrils sont inbarefootables à grande vitesse, donc obligation de s'adapter au terrain. Marcher sur trail, je l'ai déjà fait à maintes reprises, mais faire les 4/5 en marchant parce que le sol est trop "aggressif" en courant, c'est plus du trail, c'est du tourisme, donc je serai carrément hors-sujet..... Après, c'est ma vision des choses, et elle n'engage que moi.<br /> Hormis cela, j'ai bien l'intention de chercher les bonnes sensations que me procure la pratique : tout ce qui pourra se faire pieds-nus (courses sur route, chemins forestiers, circuits dans mon coin que j'emprunte déjà, pleins d'endroits en fait !) se fera pieds nus, aucun doute là-dessus !
C
wouah, une dédicace, mes doigts de pied en frétillent d'aise :) d'autant plus drôle que ce dessin de G.L est resté punaisé des années au dessus de ma table de chevet quand j'étais étudiante tendance zombie nocturne ^^<br /> Quand tu auras suffisamment couru pour avoir les pieds palmés et pris deux pointures ( le sort de tout barefooter, t'as qu'à voir ce qu'ils en disent sur BRS ), j'exhumerai à ce moment-là les canards fétiches dudit Gary. Je suis sûre que tu vois ce dont je parle :D
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J
@Chatichato : I sure do !
N
Je vais te regarder d'un autre oeil quand tu seras en plein correction de copies en salle des profs...<br /> Allez! Bonnes vacances d'ici là et surtout bonne recherche de LA paire de "chaussures".
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J
@ Nath : Ce ne sont que des pieds (avec des chaussettes autour en plus, c'est d'un commun ....... ;-) ) ! Bonnes vacances également, profites bien ! Bises à la maison....
D
Très bel article qui me fait me poser une question : Lors de la transitions 1/2/3 kilomètres, quelle chaussure avais tu pour terminer tes sorties ?<br /> Merci et bonne journée à toi ! Et un jour à la fois :)
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J
@ David (je précise, apparemment il y a des bugs dans l'ordre d'apparition de mes réponses) : Merci ! Je mettais les New Balance MT10 (en photos sur l'article "Matos") : légères, drop de 4mm, toebox large très bien dessinée, semelles très fines, les seules à l'époque qui me permettaient de virer les semelles car elles laissaient au pied la possibilité de bosser et de s'adapter au terrain. Les prochaines seront en zéro-drop !